En prison à cause de l’affaire de « tentative d’assassinat » contre le vice-président Moustadroine, le coordinateur de Juwa au niveau d’Anjouan Mahamoud Elarif n’y est pour rien en réalité. Son péché ? Avoir appelé le présumé fournisseur d’arme deux heures après les faits. Une personne qu’il contacte « régulièrement » depuis 10 ans auparavant d’après une source au sein de l’enquête qui prétend avoir eu accès à l’historique d’appel de Comores Telecom. Selon le même interlocuteur, Mahamou Elarif devait être relâché mais « le gouvernement insiste » qu’il soit maintenu en détention.
Toufeyli Maecha
Powered by Comores infos